Adolphe Bokassa,
Ce qu'il y a de satisfaisant, voire de réjouissant dans ce film, un seul mot suffira pour te l'expliquer :

JUSTICE.

Les soldats, comme toute la population du Reich, nazis ou non, connaissaient et approuvaient les meurtres de masse. Ils y ont largement contribué et y ont même participé, et cela bien avant le début du conflit mondial qu'ils avaient programmé.
Les opposants avaient depuis longtemps été éliminés, « liquidés », comme ils disaient.

Bref, comme un juste retour des choses, ils ont goûté à l'amère potion qu'ils avaient fait boire à ceux qui avaient eu le malheur de leur déplaire.
Ils ont bu la coupe de la folie et de la haine, des exécutions sommaires, des fosses communes, de la faim et du désespoir.
Cette Justice-là n'était pas celle des hommes…

Ils se rêvaient les maîtres de vastes territoires à l'Est peuplés d'esclaves. Ils ont fini par sombrer dans cette démence collective et s'entretuer comme des bêtes qu'ils étaient tous devenus.

Belle leçon d'humilité pour ces gens qui se disaient les représentants de « la race supérieure ».