Marie Colvin une femme qui avait perdu son ÂME au milieu de tous ces pays en crise, les conséquences que les pertes de ces conflits ont laissées sur elle en tant que journaliste de guerre, des RÊVES qui ont croisé le regard de peuples affaiblis, les ravages de la guerre, le théatre inhumain d'homme, de femme et d'enfant mort, tant d'image qui la hante, elle remplit sa vie de visage et de souvenir DEVASTÉS par ces territoires où elle semble chercher L'EXPLOIT dans ce décor du ciel qui pleure sous les balles, des dëcombres comme seul horizon, L'IVRESSE de ces pays toujours en conflits, à travers L'AVENTURE ET L'ERREUR DU DEVOIR, ses yeux grands ouverts plein de dessein de bien voir par le FEU DE L'ARME DE SA PLUME, elle temoigne, raconte au grand public pour toutes les victimes innocentes, du courage OUI car la GUERRE N'ATTEND PAS, sans cesse repartir comme un ENGAGEMENT FANATIQUE pour le reportage de guerre, UNE PASSION ET UNE DEPENDANCE MALGRÉ LES DANGERS ET LES RISQUES dont-elle etait CONSCIENTE, ALORS UN JOUR TOUS FINI ces RÊVES ET SES DEMONS SE SONT ETEINTS dans cette ville de Homs, SYRIE, FEVRIER 2012 et toujours aux centre d'un territoire en GUERRE. 6/10