Vivre, mourir, renaître (2024)

Vivre, Mourir, Renaître est une œuvre qui incarne tout ce qui ne va pas dans l'industrie cinématographique actuelle. Un exemple flagrant de propagande progressiste déguisée en drame émotionnel. C’est l'histoire de jeunes adultes aux prises avec des questions d'identité et de sexualité, et dès le début, il est clair que l'agenda politique est plus important que le récit lui-même. Les personnages sont utilisés comme des pions pour faire avancer une idéologie toxique.
Le scénario, si on peut l'appeler ainsi, est rempli de clichés et de stéréotypes qui servent uniquement à promouvoir un agenda woke. Les dialogues sonnent faux et sont chargés de messages politiquement corrects. On y trouve une représentation biaisée de la réalité, où les valeurs traditionnelles sont ridiculisées et où l'on invite et encourage les spectateurs à embrasser une vision du monde déconstruite.
Le film, qui semble célébrer la confusion et la destruction des fondements mêmes de notre société, est une insulte directe à l'intelligence du public. Les spectateurs sont supposés avaler des concepts mal digérés et des situations artificielles sans poser de questions.
Ce film ne parvient pas à susciter d'émotions sincères, car il est trop occupé à faire passer son message idéologique.
La performance des jeunes acteurs, bien que talentueuse, est entachée par le matériel médiocre qu'on leur a donné, et on ne peut s'empêcher de se demander si ces comédiens ont été manipulés pour promouvoir un pareil agenda, aussi malsain que destructeur.
Au final, Vivre, Mourir, Renaître est un film très dangereux qui devrait être évité à tout prix.